الاثنين، 21 مايو 2018

Stéréotype basé sur la religion;musulmans




Stéréotype basé sur la religion;musulmans


Les musulmans font face à énormément de stéréotypes quotidiennement. En voici:
1-«Les musulmans sont des terroristes»
Ce stéréotype est devenue très populaire au cours des dernières années. Surtout à cause de ce qu’il se passe au moyen-orient et les attentats dans différents pays. Ce stéréotype est complètement faux, l’Islam est une religion de paix, ceux qui sont des terroristes ce sont les EXTRÉMISTES. Ils interprètent mal le coran et ne sont PAS des musulmans. Ce cliché est beaucoup utilisé et interprète très bien l’ignorance d’une personne. Dès qu’un arabe ou musulman rentre dans un avion ou aéroport, il y aura toujours une personne qui va le regarder avec un oeil louche, justement, à cause du stéréotype. En 2010, le nombre de musulmans était d’environ 1,6 milliards, comment pourraient-ils toutes être des terroristes?  Les musulmans ne supportent pas Al Qaeda ou ISIS.



Cette photo représente la manière que certaines personnes la perçoit et qui cette femme est vraiment. On peut bien voir le stéréotype du terrorisme.


2-«L’islam opprime les femmes»
La plupart des femmes musulmanes ne sont pas obligées à porter le voile, plusieurs personnes pensent que les femmes sont oppressées et ne peuvent pas prendre leurs propres décisions ; elles ne peuvent pas conduire, leurs maris décident pour eux, elles doivent porter le voile, rester à la maison, etc. C’est faux, beaucoup de femmes musulmanes ne sont pas opprimées. Beaucoup font de déductions sans même connaitre la religion.


« Voici un témoignage de Zakia Meziani femme voilée, présidente de l’Association pour la reconnaissance des droits et des libertés des femmes musulmanes (ARDLFM) : « Quand je me balade avec une femme non voilée, on va plus facilement lui parler à elle. On va considérer que je ne parle pas le français. Il y a des a priori et des préjugés et on est là pour les faire tomber. Cessons de penser la femme arabe et musulmane comme une soumise, qui subit constamment les décisions de son entourageOn milite pour que les femmes qui veulent porter le voile puissent le porter sans être discriminées. Et que celles qui ne veulent pas porter n’aient pas de pressions intra communautaires. Nous ne sommes pas une association de promotion du foulard. Et je pense sincèrement que plus on parle du foulard, plus il y en a. » »
BILLAT, Anne. BAFFOU, Thibault. REY, Candice. NAANANI, Soumaya. CHAUDIER, Ludivine. « Les préjugés sur les noirs et les arabes révèlent-ils de la science?», Université Joseph Fournier, [en ligne], http://cortecs.org/wp-content/uploads/2013/02/11_prejuges_Noirs_Arabes_Baffou_Billat_Chaudier_Naanani_Rey.pdf , page consulté le 2 octobre


Le parfait exemple est Malala Yousafzai. Elle est une militante pakistanaise des droits des femmes. C’est la plus jeune lauréate du prix Nobel de la paix.
Résultats de recherche d'images pour « malala »



3- «Ils sont violents»
Cela ressemble beaucoup au premier stéréotype. Beaucoup de personnes croient que l’Islam est une religion violente, surtout à cause de ce qu’ils voient dans les médias. C’est faux, il ne faut jamais juger sans connaitre vraiment la religion. Certains croient que les musulmans sont violents dans leur manière de parler ou envers les femmes mais tout cela est faux, c’est un stéréotype qui est basé sur des choses qu’on entend à la télévision. Les personnes qui croient en ces clichés sont ignorants et préfèrent se refermer sur un opinion, celle qui est la plus facile, suivre ce qu’ils entendent.


Stéréotype basé sur la nationalité;arabes



Stéréotype basé sur la nationalité;arabes



Les Arabes sont victimes de beaucoup de stéréotypes, en voici quelques-uns:

1- «Les arabes sont musulmans




Être arabe est d’être né dans un pays du Moyen-Orient; être Musulman est une religion. Beaucoup de personnes les mélangent et pensent que, dès que quelqu’un est arabe, il est musulman. Beaucoup de personnes du Moyen-Orient sont catholiques. L’Islam est dominant, mais ce n’est pas tout le monde qui le pratique. Par exemple, aux États-Unis il y a environ 3,5 millions d’arabes, 63% chrétiens et 24% musulmans.







2-Les Arabes sont souvent représentés comme les bandits ou terroristes dans les films.


Les Arabes sont très souvent associés aux terroristes ou à des personnes violentes, cela est complètement faux. C’est un stéréotype qui a été créé à la suite de certains évènements, certaines personnes vont faire une généralisation et les films et médias n’aident vraiment pas. On peut souvent voir un acteur arabe représenter un personnage à caractère violent.



Par exemple, dans le film Aladdin, le personnage principal Aladdin est un bandit.



«Les Arabes sont perçus comme « plus souvent délinquants que les autres » par 27,6% des sondés (Le sondage BVA a été réalisé du 21 au 22 mai 2010 auprès d’un échantillon représentatif de 1.029 personnes, âgées de 15 ans et plus).»
BILLAT, Anne. BAFFOU, Thibault. REY, Candice. NAANANI, Soumaya. CHAUDIER, Ludivine. « Les préjugés sur les noirs et les arabes révèlent-ils de la science?», Université Joseph Fournier, [en ligne], http://cortecs.org/wp-content/uploads/2013/02/11_prejuges_Noirs_Arabes_Baffou_Billat_Chaudier_Naanani_Rey.pdf , page consulté le 2 octobre





3- Les femmes arabes sont soumises.


Beaucoup de personnes ont la vision que les femmes arabes sont soumises à leurs maris et qu’ils sont violents envers elles. Cela se rapporte au stéréotype de la femme musulmane Stéréotype basé sur la religion;musulman. Selon la culture, certains vont croire que porter le voile veut symboliser qu’elle est soumise mais, la plupart du temps, c’est sa propre décision de le porter. Ce n’est pas nécessairement un symbole de soumission.

الجمعة، 18 مايو 2018

Pourquoi il est très important d'apprendre des langues étrangères

Pourquoi il est très important d'apprendre des langues étrangères

Travailler ses compétences linguistiques n'est pas seulement bon pour le cerveau, cela favorise l'ouverture aux autres. Explications.


L'apprentissage des langues étrangères présente de multiples avantages. La recherche prouve, par exemple, que les personnes âgées qui parlent plusieurs langues sont moins susceptibles de développer des symptômes de démence sénile. Le cerveau bilingue se laisse également moins distraire, et l'apprentissage des langues étrangères améliore aussi la créativité. On sait aussi qu'après voir appris une première langue étrangère, il est moins difficile d'en apprendre d'autres.
Pourquoi est-il si important d'étudier les langues étrangères à l'université ? En tant que linguiste de terrain, j'étudie les bénéfices cognitifs et émotionnels de l'apprentissage des langues. Et parmi ces bénéfices, il y en a un qui ne va pas forcément de soi : cela améliore notre tolérance. Cet effet se manifeste de deux façons. Tout d'abord, cet apprentissage permet d'ouvrir les yeux sur d'autres façons de faire, ce qu'on nomme « compétence culturelle ». L'autre gain lié à cet apprentissage est en rapport avec l'aisance plus ou moins grande à se retrouver dans une situation peu familière, que l'on nomme « tolérance à l'ambiguïté ».

Compréhension interculturelle

La compétence culturelle est essentielle, dans un monde de plus en plus globalisé. Mais comment l'apprentissage des langues permet-il de la renforcer ? La réponse est à chercher du côté des différents types d'intelligence. Les recherches sur l'intelligence menées par le psychologue Robert Sternberg décrivent deux types d'intelligence et la façon dont elles sont liées à l'apprentissage d'une langue chez l'adulte. Ce qu'il nomme « intelligence pratique » est comparable à l'intelligence sociale, car elle aide les individus à comprendre les informations non explicites de leur environnement, comme certains gestes chargés de sens ou d'autres éléments socialement signifiants.
Apprendre une langue, c'est forcément s'imprégner de cultures différentes. Les étudiants piochent des éléments culturels associés à la langue pendant les cours, mais aussi au fil de leurs expériences d'immersion. Les chercheurs Hanh Thi Nguyen et Guy Kellogg ont démontré que lorsque leurs étudiants apprennent une langue, ils développent de nouvelles façons de comprendre une culture différente de la leur à travers l'analyse des stéréotypes culturels. Ils expliquent ainsi que « l'apprentissage d'une nouvelle langue implique non seulement l'acquisition)p d'éléments linguistiques, mais aussi l'intégration de nouvelles façons de penser et de nouveaux comportements ». Avec l'aide de leur professeur, les étudiants peuvent s'exercer à développer une pensée critique sur les stéréotypes associés à différentes cultures, qu'il s'agisse de nourriture, d'apparence ou de façons de converser.

À la rencontre de l'inconnu

L'autre façon dont l'apprentissage des langues améliore la tolérance est en lien avec la « tolérance à l'ambiguïté ». Une personne dotée d'une haute tolérance à l'ambiguïté trouve les situations inhabituelles plus excitantes qu'effrayantes. Mes propres recherches sur la motivation, l'anxiété et les croyances démontrent que l'apprentissage des langues améliore la tolérance à l'ambiguïté, en particulier quand la personne parle plus d'une langue étrangère.
Le phénomène est assez simple à comprendre. Toute conversation dans une langue étrangère implique l'utilisation de mots inconnus. Si l'un des interlocuteurs passait son temps à interrompre l'échange pour dire : « Attendez, je ne connais pas ce mot. Laissez-moi le chercher dans le dictionnaire », il serait difficile de discuter. Les personnes dotées d'une haute tolérance à l'ambiguïté ne ressentent aucune gêne à poursuivre la conversation bien qu'elles ne comprennent pas tous les mots.
Les linguistes de terrain Jean-Marc Dewaele et Li Wei étudient également cet aspect, et, pour eux, il ne fait aucun doute que l'apprentissage de plus d'une langue étrangère accroît sensiblement la tolérance à l'ambiguïté.

Ce que change cette faculté de compréhension

Une haute tolérance à l'ambiguïté comporte beaucoup d'avantages. Elle aide les étudiants à limiter leur anxiété dans le cadre de la vie en société et facilite leurs futures expériences d'apprentissage des langues. Sans surprise, plus une personne est habituée à apprendre des langues, plus elle est à l'aise avec l'ambiguïté inhérente à cet apprentissage. Mais ce n'est pas tout. Les personnes dotées d'un haut biveau de tolérance à l'ambiguïté ont l'esprit d'entreprendre ; elles sont plus optimistes, plus portées sur l'innovation et la prise de risques.
La plupart des universités américaines ont une exigence minimale en matière d'enseignement des langues étrangères, qui varie en fonction de la majeure de l'étudiant. L'université de Princeton, au contraire, a annoncé récemment que tous les étudiants, quel que soit leur niveau de langue quand ils entrent à l'université, doivent désormais apprendre une langue étrangère.
Il me semble que les autres universités devraient suivre l'exemple de Princeton, car l'apprentissage d'une langue au niveau universitaire pourrait mener à une plus grande tolérance des cultures diversifiées que l'on retrouve dans la société américaine, tolérance dont nous avons grand besoin au vu du climat actuel...
*Amy Thompson enseigne la linguistique à l'université South Florida (États-Unis).

Biodiversité : ça disparaît près de chez vous

Cette fois, il ne s’agit pas d’ours polaires ou de papillons exotiques : l’extinction de masse concerne des centaines d’animaux ou plantes de notre quotidien, qui se raréfient à une vitesse ahurissante, fragilisés par les activités humaines. Faudra-t-il bientôt parler au passé des hérissons ou des lapins de garenne  ?

 Ce sont de petits signes, auxquels on ne prête pas attention, et qui deviennent de plus en plus flagrants. Les pare-brise propres après un voyage en voiture alors qu’il y a une quinzaine d’années ils étaient maculés d’insectes écrasés.

 Les printemps de plus en plus silencieux, les alouettes, moineaux, perdrix ou hirondelles qu’on ne voit plus qu’occasionnellement. Les hérissons, grenouilles, libellules ou vers de terre qui se font rares. Le coquelicot qui n’égaye plus les blés, et qu’on doit réintroduire, l’immortelle des sables ou la violette de Rouen qui tirent leur révérence

C’est arrivé près de chez vous. Cela arrive près de chez nous, ici et maintenant. «Globalement, 30 % des espèces sur le territoire français sont menacées, assure Sébastien Moncorps, directeur du comité français de l’Union internationale pour la conservation de la nature. Cette situation est symbolique de ce qui se passe dans le monde.» La biodiversité du quotidien disparaît sous nos yeux, à une vitesse vertigineuse, ahurissante.

 

Un enjeu mal compris

Fin mars, des chercheurs du Muséum d’histoire naturelle et du CNRS lancent l’alerte : dans nos campagnes, les populations d’oiseaux communs ont chuté d’un tiers en quinze ans. Un choc, quelques mois seulement après une étude allemande pointant la disparition, en trente ans, de près de 80 % des insectes volants en Europe. Il ne s’agit plus d’un ours polaire par-ci ou d’une espèce exotique de papillon par-là, mais de la faune, de la flore et des écosystèmes qui nous entourent. Et, surtout, on l'oublie trop souvent, dont l’humain fait partie et dont il dépend pour respirer, manger, boire, se soigner, s’abriter, se vêtir, obtenir énergie et matières premières, protéger les littoraux, stocker le carbone, etc. Autant de «services écologiques» gratuits et irremplaçables.
Le bon fonctionnement de la biodiversité est vital pour l’humanité. Autant que le climat, les deux étant interdépendants. C’est le message qu’essayera de faire passer Nicolas Hulot, vendredi à Marseille, en présentant les grands axes de son plan biodiversité (lire page 5). Le ministre de la Transition écologique et solidaire devra déployer toute sa force de conviction pour secouer les consciences, jusqu’en haut lieu. L’enjeu est mal compris, donc négligé.


«Cascades biologiques»

Le concept de «biodiversité», complexe, n’est apparu que dans les années 80. Il désigne le tissu vivant de la planète, soit l’ensemble des milieux naturels (océans, prairies, forêts, mares…) et des espèces (y compris Homo sapiens), mais aussi les interactions entre les organismes vivants et leur milieu. Comment l’Homme a-t-il réussi à dérégler ces symbioses ? Comment autant d’espèces aux morphologies si différentes, vivant dans des milieux si divers, peuvent-elles être touchées par un même déclin généralisé ? «Un cocktail de facteurs, répond Sébastien Moncorps. Le changement climatique se combine à la pollution, aux pratiques agricoles intensives, à l’influence des espèces invasives et à la disparition des milieux naturels Cette dernière dynamique est la cause principale de l’effondrement continu de l’état de la biodiversité commune en France, selon lui. Tous les ans, 66 000 hectares d’espaces naturels et agricoles sont grignotés par l’urbanisation et les grandes infrastructures. Depuis 2006, le territoire a ainsi perdu l’équivalent d’un département comme la Seine-et-Marne. Une artificialisation qui provoque l’imperméabilisation des sols. «Une fois qu’il est bétonné, le sol n’est plus utilisable pour autre chose que les activités humaines, explique Alexandra Langlais, juriste au CNRS, spécialiste des interactions entre la biodiversité et l’activité agricole. C’est irréversible. On se retrouve aujourd’hui à devoir fabriquer de nouveaux sols à partir de déchets, pour les remplacer.» Idem pour l’intensification des pratiques agricoles par l’accélération des rotations de cultures, l’usage systématique de pesticides et le recours à des engins mécaniques qui écrasent les terres. «La majorité des sols européens est menacée d’épuisement, poursuit la juriste. Une fois morts, les sols n’ont plus de capacité de régénération et de production agricole. Ils perdent leur pouvoir de filtration de l’eau et de régulation des inondations. Ces pratiques tuent la biodiversité en profondeur, comme les vers de terre.» Mais, dans ce cas, le mouvement est encore réversible grâce à l’agroécologie et des techniques comme le recours à des auxiliaires de culture (pucerons, coccinelles) qui luttent contre les ravageurs et permettent la pollinisation.
Les produits chimiques ont aussi un impact direct sur les animaux, les plantes et la microfaune souterraine. «Les grands prédateurs concentrent de fortes quantités de substances toxiques, assure Jérémy Dupuy de la Ligue pour la protection des oiseaux. On observe chez les rapaces, par exemple, des cas d’empoisonnement, de baisse de reproduction et de fragilisation de la coquille des œufs Par définition, les pesticides visent à tuer végétaux, insectes et ravageurs. «Il faut recréer des cascades biologiques, insiste Christian Huygue, directeur scientifique Agriculture à l’Institut national de recherche agronomique (Inra). Nous devons repenser le système de fonctionnement agricole jusqu’à nos choix d’alimentation. Vouloir manger des tomates en hiver participe au cercle vicieux de la perte de la biodiversité.» Les animaux et végétaux souffrent aussi de la fragmentation de leurs habitats, par la construction d’infrastructures comme des routes, des zones industrielles, la disparition des haies et des chemins. Certaines espèces, comme la vipère péliade, se trouvent isolées par petites populations qui peinent à se perpétuer.

«Grands dinosaures herbivores»

S’ajoute à tout cela le changement climatique. Certaines espèces d’oiseaux migrateurs commencent déjà à revenir plus tôt dans nos contrées pour se reproduire. D’autres n’ont pas la même chance. Certains animaux et insectes qui se déplacent au sol pourraient ne pas réussir à avancer vers le Nord sous la pression de la hausse des températures globales. «Une augmentation de 0,55°C correspond à un déplacement des écosystèmes de 100 kilomètres vers les pôles et de 100 mètres en altitude, assure Jean-Dominique Lebreton, écologue spécialiste de la démographie animale et membre de l’Académie des sciences. Même si les contributions nationales de la COP 21 sont respectées, on risque de voir une hausse d’environ 3°C d’ici 2100 et la végétation méditerranéenne se retrouverait en Bourgogne.» Un réchauffement si rapide que certaines espèces ne pourraient pas avoir le temps de s’adapter. «Les oiseaux montagnards qui nichent en prairies alpines vont être poussés vers les sommets avec la remontée des forêts en altitude, détaille Jérémy Dupuy. Ils sont condamnées à disparaître de certains massifs montagneux.» Jean-Dominique Lebreton alerte sur un autre versant du phénomène : «Le déclin mondial des grandes espèces (ours, éléphants, singes...) est un avertissement avant toute crise d’extinction massive. Lors de la dernière grande extinction, ce sont les grands dinosaures herbivores qui ont disparu les premiers.» Signe que la mécanique est enclenchée : aujourd’hui, c’est la biodiversité du quotidien qui s’efface de nos mers et de nos campagnes.

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